Le trac des examens
LA PEUR
LE TRAC
LA TIMIDITÉ
« Ce n’est pas en regardant la lumière qu’on devient lumineux, mais en plongeant dans son obscurité. Mais ce travail est souvent désagréable, donc impopulaire »
LA PEUR
LE TRAC
LA TIMIDITÉ
« Ce n’est pas en regardant la lumière qu’on devient lumineux, mais en plongeant dans son obscurité. Mais ce travail est souvent désagréable, donc impopulaire »
Coaching de vie spirituelle…
…et si le present était comme un passé pour demain
pour nous tous, en quête de sens et de gai savoir !?
Ce fameux élixir de jouvence dont on nous rabâche le corps et l’âme comme une ritournelle inconsciente, une action de communication subliminale… Ne serait-il pas source de confusions, de peurs, de rejets et d’injustices, noyés dans l’abyssale modernité, faisant écho au « tout-à-l’égo » ? Un enjeu masqué à notre désir de lumière…
Une réelle vibration tragique s’exprime, dans cet Opéra de BIZET, monument de notre mémoire collective. La trahison, celle qui nous pousse à tout contrôler. Dans un dernier aveu, Don José nous chante son désespoir d’avoir tué son Amour, sa « Carmen adorée ! ».
Peur du rejet ? Vous êtes hors du moule, hors de la norme, trop sensible, trop discret(e), effrayé(e) lorsque vous devez affronter une situation nouvelle, un entretien, un public, un nouvel entourage, même envoyer un CV c’est pour vous mission impossible.
Cauchemar ou réalité ? Vos rêves sont cauchemardesques ou votre vie est un cauchemar ? La rupture et la solitude sont vos plus grandes peurs ? Peur de l’abandon ? Vous sollicitez souvent l’approbation des autres, vous doutez de tous vos choix, vous êtes constamment en manque d’affection… victime ou bourreau, le drame est votre moteur !
L’humiliation, vous savez, celle qui vous dépouille de toute dignité, celle qui dégrade, celle que vous ressentez quand la honte vous envahit, celle qui vous laisse anéanti(e), mortifié(e), vidé(e). Une rive dans l’obscurité, vertigineuse, comme l’exprime ce cri, ces mains crispées, ces yeux noircis par la cécité de la douleur et l’effroi.
.Vous êtes peut-être proche de ce personnage en proie à la détresse et à l’effroi, tellement égaré dans ce monde d’une violence inouïe… insoutenable légèreté du masque de l’injustice et intolérable violence faite contre soi-même !
« Le but du jeu du partage du surplus est de partager le surplus le moins possible. »
Paul Jorion, La survie de l’espèce (2012)